Dans cette série je continue avec la réflexion sur le langage, et je me concentre sur l’influence puissante sur moi des discours cinématographiques télévisés et des icônes de la mémoire collective . Cette fois, je m’exprime d’un point de vue nostalgique en dessinant mes deux neveux, Adib et Kenza, comme une métaphore de ma propre enfance avec deux têtes de télé représentant deux séquences de deux films du cinéma égyptien ( Alexandrie pourquoi ? et La Terre d’hypocrisie) qui a joué un grand rôle dans la construction de la base de ma culture artistique et communicative. D’autre part, la présence du drapeau marocain dans mon enfance a eu une caractéristique festive plutôt que patriotique ou politique, sortir pendant les cours de l’école dans un longue rangée des élèves pour aller a voir le Roi passer était comme une espèce de vacances, acheter et collectionner les drapeaux de papier utilisés pour et dans cet événement était comme un jeu compétitif entre les enfant ( ou ça était seulement mon impression ). Toujours avec le dessin, sentant la plus grande intimité avec le support pendant 10 jours de tracer les lignes pour créer cette pièce, alors que je la considère généralement comme une nouvelle occasion pour traiter ma mémoire privé qui peut avoir beaucoup de commun avec la collective